La perception de la ressemblance – Hume, James, Deleuze - - Université Jean Moulin Lyon 3 Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Philosophique Année : 2011

La perception de la ressemblance – Hume, James, Deleuze -

Résumé

Cet article a pour but de mettre en regard l’analyse de l’esprit de Hume avec les critiques de l’associationnisme qu’on faites William James et Henri Bergson à la fin du XIXe siècle, lorsqu’ils proposèrent de renverser l’ordre des genèses psychologiques : non pas association d’éléments atomiques séparés (les impressions et idées), mais dissociation de touts vagues confus (les expériences pures). Il cherche à montrer sur l’exemple de la perception de la ressemblance que Hume est sauf du reproche d’avoir ainsi « atomisé » la vie mentale, ce que montre notamment la fonction sélective et donc discriminante du principe de ressemblance. Le commentaire de Deleuze qui voit dans le dualisme de l’atomisme et de l’associationnisme chez Hume le critère même de définition de l’empirisme en général s’en trouve de ce fait contesté

Domaines

Philosophie

Dates et versions

hal-03631156 , version 1 (05-04-2022)

Identifiants

Citer

Frédéric Brahami, Stéphane Madelrieux. La perception de la ressemblance – Hume, James, Deleuze -. Philosophique, 2011, 12, pp.21-46. ⟨10.4000/philosophique.142⟩. ⟨hal-03631156⟩
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