M. Lyon, 845 & A 492.094 L'homme de cour traduit de l'espagnol de Baltazar Gracian par le Sieur Amelot de La Houssaie, avec des notes, pp.104-463

M. Lyon, SJ BE 662/37 L'homme de cour traduit de l'espagnol de Baltazar Gracian par le Sieur Amelot de La Houssaie, avec des notes, Troisième édition, A Paris, p.12

M. Lyon, 276 L'homme de cour, Quatrième édition, pp.345-357

?. B. Lyon, 274 & SJ BE 662/28 L'homme de cour, quatrieme edition, revue & corrigée, pp.345-1696

M. Lyon, 479 & SJ BE 662/15 L'homme de cour de Baltazar Gracian, pp.305-1702

«. Sire, L. Pluspart, and V. M. , les uns par ambition ou par vanité, les autres par intérest ; & quelques-uns par amour ou par reconnoisance. Pour moi, Sire, je n'ai pas crû devoir me régler tout-à-fait sur cet éxemple, bien que je m'y sentisse convié par tous les plus tendres & les plus purs sentimens

J. Commençai, Princes souverains, tous trois anciens amis & alliez de la France [i.e. Duc de Mantoue, Grand-duc de Toscane, Prince de Piémont] pour monter, comme par degrez, jusques à V.M., à qui il me sembloit, que je ne devois pas m'adresser, que je n'eusse fait mes premiers coups d'essai ailleurs ; en sorte que c'est de ce livre, qu'il est vrai de dire, que la fin couronne l'oeuvre. Mais tout cela n'empêche pas, que je ne tremble encore, & que je ne m'accuse moi même de témérité, quand je pense à ce que Vous étes, & à ce que je suis ; à ce que vous faites tous les jours, & à ce que je fais aujourd'hui. Et si je n'eusse trouvé un aussi habile Homme de cour qu'est Baltasar Gracian, pour m'introduire auprès de V.M., j'avoue, Sire, que j'eusse passé le reste de mes jours, sans avoir jamais l

. Si-j-'étois-homme-de-guerre, je me mêlerois peut être de parler de ces conquêtes : mais Dieu m'aiaint fait naître d'une profession toute contraire, je crois, que mon silence sera plus agreable à V.M., que tout ce que je pourois dire de tant de glorieux exploits, que ceux mêmes qui ont eu l'honneur d'en être les témoins oculaires, savent mieux admirer, que raconter. Et d'ailleurs, Sire, comme Vous étes l'Achille de l'Europe, vous avez toute l'Europe pour Homère & vous étes, à proprement parler

. Le-libraire-imprimeur-edme, privilège pour son édition parisienne de 1693 et « nous aïant tres-humblement fait remontrer, que [ce livre] lequel il n'a pû débiter, atendu le peu de tems porté par lesdits privilèges, ce qui lui fait un tort tres-considérable ; il auroit été conseillé d'avoir recours à nous, pour nous suplier de lui acorder nos Létres de continuation

S. Cavriana, J. Ammirato, G. Gruterus, V. Pagliari, B. Malvezzi et al., [p.XLVIII] Nicolas Perrot d'Ablancourt. [Cela] me devroit empêcher de critiquer d'Ablancourt, qui a pour partisans tous ceux, qui n'ont jamais lu les originaux grecs & latins, qu'il a traduits. Mais comme il est du service public de détruire la prévention, que l'on a en sa faveur, j'ai crû, que cet interêt me devoit être infiniment plus cher, que celui d'un particulier, Critique de divers auteurs modernes qui ont traduit ou commenté les ouvres de Tacite quand on voudra prendre la peine de conférer nos deux traductions avec le texte de Tacite. [?](suit une critique de la traduction

M. Lyon, 368 Mémoires historiques, politiques, critiques et littéraires par Amelot de la Houssaie, A Amsterdam, Chez Michel Charles Le Cène, 1722, 2 volumes, p.12

M. Lyon, 743 Mémoires historiques, politiques, critiques et littéraires par Amelot de la Houssaie [avec une continuation de M. Coqueley], A Amsterdam, chez Michel Charles Le Cène, 1731, 2 volumes, p.12

. Aucune-dédicace-ni-préface, Identique à l'édition de 1722